Une rencontre pleine de surprise [Dryade]

F

L

D

- Bien le bonjour ! Puis-je m'enquérir de ton identitée ?

I

[Désolée mes Rps sont tout petits ._.]

Prairie à la Pierre de Cristal.
L'un de ses endroits préférés.
Elle ne croyait pas vraiment au Clan des Étoiles mais cet pierre d'où une lumière éblouissante était magnifique.
Elle venait souvent ici, se reposer. Puis elle repartait, sois visité des territoires de Clan, sois voir plus loin de l'autre coté de la prairie.
Sa vie de solitaire l'a comblait entièrement. Ou presque.
Elle n'avait pas encore retrouvée toute sa fratrie.
Depuis qu'elle l'ai avait « perdus », une impression de vide s'était creusée en elle.
Un gouffre s'était créé en elle.
Elle vivait pour l'ai retrouver.
Il n'y avait pas très longtemps, elle avait retrouvé sa soeur.
Le gouffre s'était, d'une certaine manière, un peu refermé. Mais, d'une autre manière, s'était ré-ouvert.
Elle avait encore plus envie qu'avant de les retrouver.

- Bien le bonjour ! Puis-je m'enquérir de ton identitée ?

Elle sursauta.
Une voix venait de retentir.
Elle se retourna vive comme l'éclair.
Un chat du Clan e l'Aube. Son odorat ne l'avait pas trompée.

« Bonjour, répondit-elle d'une voix impassible. Je suis une solitaire, je m'appelle Dryade.
Puis-je vous demandez, qui vous êtes ? »

Sur le qui-vive, elle attendit un réponse avec patience.

[On s'en fout de la longueur, ce qui compte c'est ce qu'il contient ^^]

Yiruma - The Whole Nine Yards (Instrumental)

[Feu Sauvage]

« Bonjour, répondit-elle d'une voix impassible. Je suis une solitaire, je m'appelle Dryade.
Puis-je vous demandez, qui vous êtes ? »

Feu Sauvage acquiesça, il se retourna et reprit paisiblement:

« Je m'appelle Feu Sauvage, j'ai intégré le Clan de l'Aube il y a peu ... »

Il allait rajouter qu'il le regretter presque, mais c'était une solitaire, peut-être n'allait-elle pas comprendre. Mais peut-être pourrait-elle tout aussi bien l'aider. Le rouquin se demanda s'il ne pouvait pas prendre la deuxième proposition. Enfin, il avait très envie de tout dévoiler à quelqu'un. Mais à une inconnue ? Est-ce bien ? L'ancien solitaire voulait se confier, mais pourquoi maintenant ? Qui lui disait qu'elle n'allait pas le trahir ensuite ? Tant de question se bousculait dans sa tête. Il avait mal ... Oui, mal à la tête mais aussi dans son coeur. Dans le coin réservé à sa compagne. Il l'avait privé de sa liberté, mais c'était pour la protéger. Elle avait accepter de vivre en Clan, alors qu'il n'y a pas longtemps elle disait ne pas aimer cela. C'était l'impasse. Feu Sauvage décida alors de se confier, mais pourquoi à elle ? Tant pis, il lui était inutile de se poser d'autre questions. Ah... Quel atroce mal de tête !Elle se coucha lentement, et, une fois couché, poussa un long soupir. Il leva les yeux vers la pierre de cristal et lança:

« Si il y avait un papillon que tu voulais protéger, qui volait innocement dans les ténèbres. Sachant que tu ne peux le toucher, comment fais-tu ? Tu le garde entre tes griffes et, sans t'en rendre compte, il est triste et il est privé de sa liberté ? Tu le laisse hérer la où il est et il meurt dans la nuit ? Ou, tu l'emprisonne un moment et tu l'emmène dans un endroit où toi tu perds tes repères, où il y a moins de danger, ou toi tu te sens en sécurité et lui aussi ? »

Il leva les yeux vers la féline, et la suplia de répondre. Ah ... J'ai mal à la tête... se dit-il sans montrer sa douleur. Cela lui durait depuis quelques jours, enfin, depuis qu'Immo' et lui avait intégré le Clan. Il se sentait mal. Comme l'on se sent après avoir perdu sa liberté, comme se sent un chat sauvage chez les Bipèdes... Peut-être que la réponse de la solitaire allait appaisait cette douleur ? Il espèrait vivement qu'elle réponde. Il était au bord du gouffre et elle était la seule à l'empêcher de tomber.

Immortelle... Je ne le vois pas dans ton regard, mais je sais que la liberté te manque. Je le sens. En intégrant ce Clan, tu as voulu me faire plaisir, à moi. Tu as fait le choix entre ta liberté et moi. Mais pourquoi ne pas avoir choisit les deux ? Pourquoi t'es-tu privé pour moi ? Tu pensais peut-être faire mon bonheur ? Mais... Mon bonheur est de te voir libre, mon bonheur est ton bonheur ! Sache que si tu avais refusé de vivre en Clan, je ne t'en aurais pas voulu, et tu ne m'aurais pas vexé. Parce que tu es mon papillon, mon étoile, ma lumière ! Tu es immortelle ...

Sa douleur revint, suivit d'un pincement au coeur. Il avait la sensation de protéger son papillon, mais en faisant cela, il referme ses griffes autour de cette belle créature. Et le papillon, petit à petit, se meurt. Sans le vouloir, son protecteur la finalement tué de lui-même. Feu Sauvage pensait bien faire, et heureusement, il n'était pas trop tard. Pour lui, vivre en Clan était la meilleure des solutions, mais pour d'autres... La liberté est ce qu'il y a de mieux. Le rouquin attendit une réponse sincère de la part de la solitaire...

« Je m'appelle Feu Sauvage, j'ai intégré le Clan de l'Aube il y a peu ... »

Il eut une brève hésitation mais n'ajouta rien.
Quelque secondes passèrent.
Dryade observait avec attention son interlocuteur.
Une chose le tracassait. Il tressaillit et se lança :

« Si il y avait un papillon que tu voulais protéger, qui volait innocemment dans les ténèbres. Sachant que tu ne peux le toucher, comment fais-tu ? Tu le garde entre tes griffes et, sans t'en rendre compte, il est triste et il est privé de sa liberté ? Tu le laisse hérer la où il est et il meurt dans la nuit ? Ou, tu l'emprisonne un moment et tu l'emmène dans un endroit où toi tu perds tes repères, où il y a moins de danger, ou toi tu te sens en sécurité et lui aussi ? »

Dryade ne fut même pas surprise qu'il se confit à elle.
Si elle avait su.
Elle aurait dit qu'elle ressemblait à sa soeur plus que ce qu'elle pensait.
Elle avait tout de suite fait confiance à ce félin, pourtant si banale à première vu...

« Tant que le papillon à des ailes, il fera tout pour les faire battre. Mais si il se pose au milieu du bonheur, pourquoi battre des ailes et quitter le bonheur ?
Même emprisonné le papillon garde ses ailes. Car,oui. Le bonheur emprisonne et même un papillon puissant ne peux s'en échapper et se remettre à hérer dans les ténèbres. »

« Tant que le papillon à des ailes, il fera tout pour les faire battre. Mais si il se pose au milieu du bonheur, pourquoi battre des ailes et quitter le bonheur ?
Même emprisonné le papillon garde ses ailes. Car,oui. Le bonheur emprisonne et même un papillon puissant ne peux s'en échapper et se remettre à hérer dans les ténèbres. »

Un papillon qui se meurt enfermé à jamais entre les griffes de son protecteur. Pensant le protéger, il ne voit pas que celui-ci meurt de jour en jour, lentement, sans bruits. Il fait conifance à son protecteur, dans l'espoir du jour où il lui rendra sa liberté.

Liberté ! Immortelle, je t'en prie pardonne-moi de t'avoir fait subir ce que tu voulais le moins. J'ai comme trahis ta confiance, j'ai été égoïste. Je ne voulais pas... Il faut que je te rende ta liberté avant que ton espoir meurt avec toi. Je t'aime et tu m'aime. Mais j'ai fait passer quelque chose qui t'étais très cher sous tes yeux et j'ai refermé les miens quand il est passé sous mon regard. Quel idiot je peux faire ! Oh Immortelle, pourras-tu un jour me pardonner ? Tu es si gentille que tu ne montre pas ce que tu n'aimes pas.

Les yeux brillants, et fixant la pierre de cristal, Feu Sauvage songea à sa compagne. Il devait lui rendre ce qu'elle avait laissé de côté. Il esperait qu'elle n'y avait pas pris goût. Une larme faillit couler, mais il la retint, pleurer devant une inconnue... Mauvaise idée. D'accord il lui avait déjà confier quelque chose de lourd qu'il avait sur le coeur, mais cela lui restait toujours en travers de la gorge. Fichu mal de tête...Des gouttes ruisselèrent sur son visage. Ce n'était pas des larmes, mais plutôt de la transpiration ? Comme s'il avait fait un gros effort, ou comme s'il avait chaud. Parfois, il passait des nuits sans dormir, mais, tout ça parce qu'un cauchemar le hante. Celui où Immo' ne retrouve jamais sa liberté. Au début il ne s'en soucier pas. Mais maintenant il en avait honte. Honte de la lui avoir volé. Pourquoi n'avait-elle pas pris les deux ? Sa liberté et lui, au lieu de céder à son caprice. Il était en colère contre lui-même. Il lui avait causé du tort, lui avait surement fait mal au coeur. Et elle, elle la sauvé plus de fois qu'il ne la fait.

Feu Sauvage se leva et plongea le regard dans les yeux de Dryade:

« Je te remercie beaucoup. Ce que tu m'as dit m'a vraiment aidé. Tu ne peux peut-être pas comprendre, mais moi oui. Cela me tracassait depuis un bon bout de temps, je n'arrivais même plus à dormir. As-tu déjà trouvé l'amour ? Moi oui. J'ai l'impression d'avoir privé ma compagne de ce qu'elle aimait le plus. Sa liberté... »

Sur ceux, il resta debout, attendant un réponse. Mais ses pattes, tremblantes, se dérobèrent sous lui, et se retrouva par terre, couché sur le flanc. Il soupira... Son mal de tête ne faisait qu'empirer...

Regarde après avoir lu xD //PAN//
Jean-Baptiste Lala

« Je te remercie beaucoup. Ce que tu m'as dit m'a vraiment aidé. Tu ne peux peut-être pas comprendre, mais moi oui. Cela me tracassait depuis un bon bout de temps, je n'arrivais même plus à dormir. As-tu déjà trouvé l'amour ? Moi oui. J'ai l'impression d'avoir privé ma compagne de ce qu'elle aimait le plus. Sa liberté... »

Les pattes du félin, nommé Feu Sauvage, tressaillir puis cédèrent sous le poids du félin.
Il s'écroula.
Dryade s'approcha, murmura :

« De rien. Non, je n'ai pas encore trouvée l'amour.
La liberté à un prix, suffit de trouver le quel. »

Elle avait espérée que ces mots, ces simples mots, allait délivrer Feu Sauvage de son chagrin.
De son mal de tête. De sa fatigue.

« Ça va ? »

Elle espéré vraiment que Feu Sauvage allait mieux. Un lien, un fil, l'empêchait de ne pas l'« aimer ».
Ce même lien, l'a lier à sa soeur.
Etait-ce son frère ?
Non, quelque chose lui disait :
Non.

« De rien. Non, je n'ai pas encore trouvée l'amour.
La liberté à un prix, suffit de trouver le quel. »

Dryade avait raison. Feu Sauvage lui fit un grand sourire chaleureux et heureux. Il sentait déjà son mal de tête se dissipper. Grâce à elle, il pourrait peut-être retrouver un sommeil paisible. Mais il trouvait ça bizarre d'avoir fait confiance à une inconnue. Peut-être est-ce à cause de sa forte ressemblance avec Immortelle. C'était surement dût à ça, oui. D'ailleurs, la solitaire s'était approché pour dire ces mots, elle les avait presque murmurrait. Feu Sauvage pris un air songeur, oubliant ainsi le monde, il essayait de comparer Dryade à Immo'. Presque tout corresspondait, il insista bien sur le presque:

« Ça va ? »

De nouveau le rouquin se sentit mal, mais cette fois-ci, il sentait une douce présence. Un doux vent souleva son pelage. Il inspira profondement, oubliant les autres odeurs sur terre. Il ferma les yeux pour mieux se concentrer. Il connaissait ce parfum. Un battement de coeur le rendit sourd. Il n'entendait plus rien, sentait juste cette odeur présente. Le monde tournait autour de lui. Les derniers mots de Dryade résonnèrent dans sa tête. Il ferma les yeux. Une douleur le prit dans la tête, mais aussi partout sur le corps. Il se sentait paralysé.

Quand il ouvrit les yeux, il vacilla. Toute douleur disparu, il regarda autour de lui. Cette endroit lui était inconnu. Mais l'odeur envoûtante était toujours là. Il se trouvait dans un vaste plaine verte pomme, et le ciel était d'un bleu électrique. Du jamais vu pour lui. Même lors de la saison où le soleil se faisait très chaud, et où tout devenait sec. Le guerrier sentait un nouveau souffle, et cette fois-ci, une féline s'approcha. Elle était couleur caramelle, ses yeux bleus se comparaient au ciel, son long poil était aussi doux que l'herbe des saisons des feuilles nouvelles. La présence venait de derrière le chat de feu, il se retourna:

« M... Mère ? Que faites-vous ici ? »

Il la vouvoyait, ne la connaissant pas très bien, c'était un réflexe. Il se montrait poli envers les morts. Oui, sa mère a été froidement abbattu par des chiens, sauvant ainsi la vie de son fils. Ce dernier, devenu d'aileurs grand, s'inclina devant la défunte. Chaque soir, il sentait son odeur, comme si elle veillait sur lui. La rouquine prit la parole:

« Mon fils... Tu dois savoir que ce mal de tête, devenu trop important, t'as juste rendu inconscient pour un court moment. Maintenant, que tu sais ce que penses une personne qui ressemble à Immortelle. Et elles se ressemblent plus que tu ne le penses. Mais il y a beaucoup d'autre chose que tu dois savoir... »

Feu Sauvage écarquilla les yeux, il savait que maintenant, sa mère allait rejoindre les étoiles mais le guerrier voulait en savoir plus. Et ça lui permettrait de revoir plus longtemps sa mère. Celle-ci se retourna pour partir rejoindre un félin qui l'attendait non loin. Il s'écria:

« Non ! Attendez ! Mère ! »

Cette dernière s'arrêta et lui adressa un dernier regard, un dernier sourire :

« Tu dois te réveiller, je m'en vais. Nous nous reverrons ce soir... »

Sur ceux, elle partit rejoindre l'autre félin. Feu Sauvage vit de loin qu'il s'agissait de son père. Il avait perdu ses frères et ses soeurs dans l'attaque des chiens, il ne savait même plus s'ils étaient vivants ou morts. Le guerrier se sentit de nouveau mal, son corps vacilla dans le vide, il crut tomber d'une falaise.

Un tremblement réveilla son corps, une présence autre était à ses côtés. Une voile lui recouvrant à moitié la vue, il voyait le monde flou :

« ... Immortelle ? »

Toujours couché sur le flanc, il inspira de nouveau l'air. Non, ce n'était pas Immortelle, mais une odeur ancienne disait qu'elle l'avait vu il n'y a pas longtemps. La silouhette de la féline commença à redevenir net. Effectivement, ce n'était pas sa compagne, mais Dryade:

« Dryade ? Pardon, je t'ai confondu avec le papillon ... »

Il se leva difficilement, mais il se sentait mieux et lui adressa un nouveau sourire.

Perdue dans ses pensées, elle entendit à peine le félin qui lui fesait face murmurer, elle sortie de sa transe et entendit :

« ... Immortelle ? »

Elle était justement en train de penser à elle..
D'un coup le déclic se fit.
Comment avait-il pu savoir qu'elle pensait à elle ? Comment l'a connaissait-il ?
Non.
Ça devait être son imagination... Pourtant quand elle entendit la suite des paroles de Feu Sauvages, elle sut qu'elle n'avait pas rêvé et que ...

« Dryade ? Pardon, je t'ai confondu avec le papillon ... »

... Le papillon dont il parlait, était Immo'. Sa soeur.
Comme frappée de plein fouet, elle recula de quelque pas et vacilla.
Alors c'était lui.
Oh. Elle ne s'était pas attendue à l'apprendre comme ça...
Tant pis ! Elle ferait avec !
Maintenant fallait parler sinon, elle s'enfermerait dans ses pensées et le cauchemar recommencerais.

« Immortelle. Oui. Immortelle... Je l'as connait mieux que quiconque, peut-être, a part toi.
C'est ma soeur... Je..je..l'ai.. revue, il y a pas longtemps et..»

Comme si elle peinait intérieurement, elle ferma les yeux et murmura la suite..

«.. Il y avait tellement de temps que je ne l'avais pas vu...Et on a dut se quitter, une nouvelle fois... »

La douleur qu'elle avait voulut enfouir au plus profond d'elle sortait, enfin, par flot de mots fluide..

« Depuis toujours, je l'a cherche, et quand enfin, je l'a trouve. pop. Elle disparait à nouveau. Je ne lui en veux pas, non. Surtout pas. Je suis très heureuse qu'elle ai trouver l'amour.. Mais c'est si dur de se séparer d'une soeur qu'on à si longuement rechercher.. »

Les phrases de Feu Sauvage avait l'air d'avoir totalement désorianté la solitaire. Surtout quand il ajouta le mot papillon. L'être vivant doté d'ailes était censé représenter Immortelle, bien sûr rien ne le montrait, mais pour Feu Sauvage, c'était sa liberté. Des mots résonnèrent dans sa tête en revoyant Dryade: Et elles se ressemblent plus que tu ne le penses. Le rouquin se leva et avant qu'il n'ait pu savoir si tout allait bien. La féline parla:

« Immortelle. Oui. Immortelle... Je l'as connait mieux que quiconque, peut-être, a part toi.
C'est ma soeur... Je..je..l'ai.. revue, il y a pas longtemps et..»

La solitaire ferma ses yeux. Alors c'était ça ? Cette ressemblance frappante ! C'était sa soeur ? Qui l'aurais cru ! Elle était donc l'origine de mon mal de tête ? Ma mère voulait que nous nous rencontrions ? Ses questions restèrent, et resteront sans réponses. Dryade le sortit de ses pensées en murmurrant:

«.. Il y avait tellement de temps que je ne l'avais pas vu...Et on a dut se quitter, une nouvelle fois... »

Feu Sauvage sentit que sur le coup, il avait envie de fuir le regard de Dryade. Heureusement, celle-ci avait les paupières closent. Son coeur se serra. Elle ne l'avait pas vu depuis belle lurette, lui, il venait de la rencontrer. Elle l'avait vu il n'y a pas si longtemps que cela, et lui, il se comporte en égoïste, voulant la garder dans un Clan. Il baissa la tête, conscient de ce qu'il avait fait à ces deux soeurs:

« Depuis toujours, je l'a cherche, et quand enfin, je l'a trouve. pop. Elle disparait à nouveau. Je ne lui en veux pas, non. Surtout pas. Je suis très heureuse qu'elle ai trouver l'amour.. Mais c'est si dur de se séparer d'une soeur qu'on à si longuement rechercher.. »

Sur le coup, il releva la tête. Ecarquillant ses yeux. Ses deux pupilles rétrécirent. Son coeur s'arrêta de battre. Son estomac se retourna. Il se sentait mal. Elles venaient à peine de se retrouver, qu'elles devaient déjà se séparer. Il se sentit si égoïste. Elle ne lui apparetnait pas. C'était juste sa compagne qui aimait plus que tout au monde, et non un pantin que l'on peut facilement diriger. Il ne voulait que protéger son papillon. Et au lieu de cela, il ne faisait que la tuer de plus belle. Il venait de lui retirer sa liberté. Et maintenant, il venait de lui enlever sa soeur tant cherché. Feu Sauvage baissa de nouveau sa tête et dit à voix basse:

« Je... Suis désolé... Je me suis comporté comme un égoïste. Je n'ai pensé qu'à moi, et pas à Immortelle. »

Il leva les yeux vers Dryade et d'un air sérieux et décidé:

« Je vais lui rendre sa liberté ! »

Il s'assit, assez content de se sentir mieux. Dryade l'avait quand même bien aidé.

« Je vais lui rendre sa liberté ! »

Elle secoua la tête. Si c'était à cause d'elle qu'il fesait ça, elle n'avait pas le droit.
Mais, non. Dryade vit bien que ce n'était pas seulement pour elle qu'il le fesait. C'était pour Immo', sa soeur qu'elle aimait tant...
Voyant la flamme de détermination dans les yeux du félin, elle hocha, une nouvelle fois la tête, mais en signe d'acquiescement, cette fois.

« Ne te reproche jamais d'avoir voulu la protéger, d'accord ? ... »

Elle ajouta, plus grave :

« Tu peux lui rendre sa liberté sans l'a laissé s'envoler....»

N'ayant pas beaucoup de chose à dire pour lancer la conversation, elle changea un peu de sujet :

« Tu as toujours fait partie du Clan de l'Aube ? Et, tu as des frères ou soeurs, toi ? »

[ Vraiment pas d'inspi', désolée.. x__x ]

[Comme la dit chais plus qui, ce n'est pas la quantité qui compte mais la qualité, j'aime bien ton Rp moi ^^]

Kaito ~ VOCALOID - You
« Ne te reproche jamais d'avoir voulu la protéger, d'accord ? ... »

La lueur de détermination disparut dans les yeux de Feu', laissant place à une légère mélancolie. Son regard se tourna vers le magnifique paysage du soleil couchant. Cette lumière passant à travers le cristal, se transforma en une multitude d'arc-en-ciel au sol. C'était beau. Sur le coup, Feu Sauvage était totalement coupé du monde réel, hypnotisé par les reflets dansant sur la terre. Quelque chose en lui, lui demandait de partir de ce Clan, mais une autre chose plus profonde lui demandait de rester. Etais-ce parce qu'il avait quelque chose à accomplir ? Ou parce qu' Immo' serait en bonne sécurité dans un Clan ? Les questions revenaient. Alors qu'il pensait avoir tout résolu... Une voix lointaine le ramena à la réalité:

« Tu peux lui rendre sa liberté sans l'a laissé s'envoler....»

Le regard vert électrique du félin roux se tourna vers les yeux de Dryade. Il lui adressa un sourire chaleureux, ouvrit la bouche, et lança d'une voix douce et faible:

« Tu peux être sur que j'y fairais très plus attention. »

De nouveau, il posa ses yeux sur le paysage. Un souffle doux passa sur els deux félins, leur soulevant à chacun leur pelage. Il y eut une courte pause avant que la solitaire ne change de sujet:

« Tu as toujours fait partie du Clan de l'Aube ? Et, tu as des frères ou soeurs, toi ? »

Feu Sauvage ne bougea pas. Il n'était pas choqué de cette question. Après tout, elle avait droit de la poser. Ils ne savaient rien d'elle, et elle ne savait rien de lui. Il ferma les yeux, pour essayer de revrivre le passé. Celui qu'il avait tant essayé d'oublier. Il n'était pas devenu comme Pleine Lune et son regard remplit de mélancolie. Non, et heureusement. Immortelle n'aurait surement pas oser l'approcher. Le fait d'y penser le fit frissoner. Il allait répondre à ces questions. Une boule se fit sentir dans sa gorge. Il ouvrit la bouche pour parler mais rien ne sortit. Pourtant, il pensait s'être dit de tout oublier. Mais d'un coup, tout ces souvenirs refaisant surface...

" Non... Je ne suis pas né dans le Clan de l'Aube. Je suis né dans un clan lointain, et qui, maintenant, n'est plus. J'étais jeune. J'allais bientôt devenir apprenti, mais je ne me souviens pas du nom de ce fameux clan... Un jour, alors que personne ne s'y attendaient, notre clan ennemi nous tendit une embuscade. Du sang de partout. Des cris, des pleures. Des corps tombant, Feu Sauvage marqua une courte pause, et baissa les oreilles, comme s'il entendait les cris d'entant. Ma mère sortit la tête de la pouponnière, elle voulait se battre, mais elle a préféré rester nous protéger, nous. Ma petite famille. Pendant qu'elle regardait discrètement le campement, je passa ma tête dehors. Et je vis tout ce que les ennemis nous avaient infligé. Le guérrisseur était gravement blessé. Il n'aurait pas survécu à de pareils blessures. Plus loin, en face de moi, mon père tomba dans une mare de sang. Le chef de l'autre clan lui avait ouvert la gorge. Dans ses cris d'agonies et ses yeux entrouverts, nos regards se croisèrent. Il s'arrêta de gémir un instant. Je n'aurais jamais cru que son regard puisse être aussi souillé, de haine, de colère, de cruauté et d'impatience... Et étrangement aussi, de douceur et de tristesse. Je ne savais pas qu'il pouvait contenir toutes ces émotions mélangées. E-est-ce que moi aussi, un jour, j'aurai un tel regard ? se laissa-t-il dire, perdu dans son passé. Ma mère l'avait vu aussi. Et sous ces grands yeux choqués, elle oublie sa discretion. Un mâle noir arriva en face d'elle, un ennemi. Un cri étouffé s'échappa. C'était l'une de mes soeurs. Elle était effrayé par le mâle imposant qui se trouvait devant elle. Ma mère s'en inquiéta, elle tourna vivement la tête vers la chattonne, mais au même moment, une patte se leva et se rabbattit comme un éclair sur ma mère. Cette dernière se stoppa net, à son tour, elle me regarda une dernière fois. Et ses yeux se levant aux ciels, elle tomba lentement au sol. Tout était au ralentit. Le son avait comme disparu. Le noir se faisait autour de moi. J'étais figé. Le corps autrefois blanc, était maintenant parcemé de tache rouge. De nouveau du sang. Le son disparu avait laissé place à des battements sourds. Je connaissais ces battements. Je les entendais chaque soir me couchant près de mes frères et soeurs. C'était ceux d'un coeur frêle. Il battait. Oui. Le miens battait encore. Et ceux de mes frères et soeurs aussi. Je voulais aider le reste du clan. Mais avec quoi ? Je n'avait même pas d'arme. Je ne savais pas me battre ! une larme coula sur sa joue. Je me sentais faible. Bon à rien. Inutile, énuméra-t-il d'une voix tremblante. Mais un cri me ramena à la réalité. L'ennemi de jais tenait entre ses crocs l'une de mes soeurs. Ce lache s'enfuit. Il voulait surement la garder pour en faire une apprentie dans le clan. Et moi, comme un idiot, je lui suivis. Courant du mieux que je pouvais. Mais je ne voyais pas que c'était inutile. Que ferait un chaton face à un guerrier entrainé ? Rien. Il lui servirais surement de nourriture. Mais je ne voulais pas perdre un autre être qui m'était cher ! une deuxième larmes perla. Le félin ennemi se rendit vite compte de ma présence, et n'aimait surement pas ça. Il s'arrêta et me donna un énorme coup de patte. Je me souviens encore du grand coup qui suivit... Il m'avait balancé de toutes ses forces contre un arbre. J'étais assomé. A mon réveil, je ne savais plus du tout où j'étais. Je suis resté solitaire pendant longtemps. Je savais très bien que mon camp n'était plus. Je voyageais de forêt en forêt, cherchant un endroit calme et tentant d'oublier... Puis je suis tombé sur une meneuse au caractère de feu. Elle portait bien son nom. Elle m'a accepté dans son Clan en tant que conseiller. Jusqu'à ce que je rencontre Immortelle. Elle est comme un papillon qui s'envole vers le ciel et la lumière, et qui dans dans les airs au soleil de midi, sans se soucier du danger qui l'entoure. Je voulais la protéger. Mais mon ancienne meneuse était contre. Je suis alors partit de ce clan pour rejoindre celui de l'Aube, entrainant sur mon passage, une belle solitaire grise répondant sous le nom de Immortelle... "

Il avait parlé... Et pas qu'un peu, il n'avait pas tout à fait répondu à ses questions. Au contraire, il lui avait tout dévoilé ! Tout ? Non, il lui manquait le secret que seul trois félins connaissent. Feu Sauvage leva une patte vers son visage, il se la lécha et se la passa sur ses joues. Afin d'éliminer les traces de larmes sèches. En une soirée, il avait vécu tout ce qu'il ne voulait pas revivre. Un nouveau souffle passa. Soulevant derechef le pelage du félin roux. Dans sa réflection, il vit le regard de toute sa famille. Elle était quelque part, réuni au complet. Enfin peut-être... Le rouquin rouvrit ses yeux et plongea ses derniers dans ceux de la solitaire. Bizarrement, elle semblait s'effaçais petit à petit. Il se sentait pourtant bien. Alors pourquoi tout ce qu'il y avait autour de lui semblait s'assombrir ? Pourquoi tout commençait à disparaitre ? Tout devenait noir ? Feu Sauvage se rendit compte, mais un peu tard, que le ciel avait déjà changé de couleur, que le soleil était couché, laissant place au crépuscule. Et comme chaque soir, tout allait recommencer. Ces pupilles étaient dilatées, elles n'allaient pas tarder à se bloquer pour la nuit. Il n'allait bientôt plus rien voir. Voici ce qu'il avait hommis de dire dans son histoire. Il avait oublié de lui dire son secret. Mais tôt ou tard, elle l'aurait appris. Feu Sauvage avait peur que ce secret se sache. Chaque nuit, il avait peur que quelqu'un ne viennent l'abattre froidement, profitant ainsi de son handicap. Oh non... Ses mots lui échappèrent, il pensait l'avoir dit tout bas, mais lègèrement choqué par tout ce qu'il revivait, il le dit un peu trop fort...

[T'as vu ? Même avec ton petit Rp, je peux faire un grand truc Very Happy

N'est pas peur de le faire quand tu n'as pas d'inspi', pense à une question ou une action qui pourrait ralonger la suite du sujet Very Happy

Tu as bien fait de lui demander ça... Je me suis un peu arracher là xDD]
[J'viens de me rendre compte que c'est long ce qu'il dit oO" ]

" Non... Je ne suis pas né dans le Clan de l'Aube. Je suis né dans un clan lointain, et qui, maintenant, n'est plus. J'étais jeune. J'allais bientôt devenir apprenti, mais je ne me souviens pas du nom de ce fameux clan... Un jour, alors que personne ne s'y attendaient, notre clan ennemi nous tendit une embuscade. Du sang de partout. Des cris, des pleures. Des corps tombant, Feu Sauvage marqua une courte pause, et baissa les oreilles, comme s'il entendait les cris d'entant. Ma mère sortit la tête de la pouponnière, elle voulait se battre, mais elle a préféré rester nous protéger, nous. Ma petite famille. Pendant qu'elle regardait discrètement le campement, je passa ma tête dehors. Et je vis tout ce que les ennemis nous avaient infligé. Le guérrisseur était gravement blessé. Il n'aurait pas survécu à de pareils blessures. Plus loin, en face de moi, mon père tomba dans une mare de sang. Le chef de l'autre clan lui avait ouvert la gorge. Dans ses cris d'agonies et ses yeux entrouverts, nos regards se croisèrent. Il s'arrêta de gémir un instant. Je n'aurais jamais cru que son regard puisse être aussi souillé, de haine, de colère, de cruauté et d'impatience... Et étrangement aussi, de douceur et de tristesse. Je ne savais pas qu'il pouvait contenir toutes ces émotions mélangées. E-est-ce que moi aussi, un jour, j'aurai un tel regard ? se laissa-t-il dire, perdu dans son passé. Ma mère l'avait vu aussi. Et sous ces grands yeux choqués, elle oublie sa discretion. Un mâle noir arriva en face d'elle, un ennemi. Un cri étouffé s'échappa. C'était l'une de mes soeurs. Elle était effrayé par le mâle imposant qui se trouvait devant elle. Ma mère s'en inquiéta, elle tourna vivement la tête vers la chattonne, mais au même moment, une patte se leva et se rabbattit comme un éclair sur ma mère. Cette dernière se stoppa net, à son tour, elle me regarda une dernière fois. Et ses yeux se levant aux ciels, elle tomba lentement au sol. Tout était au ralentit. Le son avait comme disparu. Le noir se faisait autour de moi. J'étais figé. Le corps autrefois blanc, était maintenant parcemé de tache rouge. De nouveau du sang. Le son disparu avait laissé place à des battements sourds. Je connaissais ces battements. Je les entendais chaque soir me couchant près de mes frères et soeurs. C'était ceux d'un coeur frêle. Il battait. Oui. Le miens battait encore. Et ceux de mes frères et soeurs aussi. Je voulais aider le reste du clan. Mais avec quoi ? Je n'avait même pas d'arme. Je ne savais pas me battre ! une larme coula sur sa joue. Je me sentais faible. Bon à rien. Inutile, énuméra-t-il d'une voix tremblante. Mais un cri me ramena à la réalité. L'ennemi de jais tenait entre ses crocs l'une de mes soeurs. Ce lache s'enfuit. Il voulait surement la garder pour en faire une apprentie dans le clan. Et moi, comme un idiot, je lui suivis. Courant du mieux que je pouvais. Mais je ne voyais pas que c'était inutile. Que ferait un chaton face à un guerrier entrainé ? Rien. Il lui servirais surement de nourriture. Mais je ne voulais pas perdre un autre être qui m'était cher ! une deuxième larmes perla. Le félin ennemi se rendit vite compte de ma présence, et n'aimait surement pas ça. Il s'arrêta et me donna un énorme coup de patte. Je me souviens encore du grand coup qui suivit... Il m'avait balancé de toutes ses forces contre un arbre. J'étais assomé. A mon réveil, je ne savais plus du tout où j'étais. Je suis resté solitaire pendant longtemps. Je savais très bien que mon camp n'était plus. Je voyageais de forêt en forêt, cherchant un endroit calme et tentant d'oublier... Puis je suis tombé sur une meneuse au caractère de feu. Elle portait bien son nom. Elle m'a accepté dans son Clan en tant que conseiller. Jusqu'à ce que je rencontre Immortelle. Elle est comme un papillon qui s'envole vers le ciel et la lumière, et qui dans dans les airs au soleil de midi, sans se soucier du danger qui l'entoure. Je voulais la protéger. Mais mon ancienne meneuse était contre. Je suis alors partit de ce clan pour rejoindre celui de l'Aube, entrainant sur mon passage, une belle solitaire grise répondant sous le nom de Immortelle... "

Elle réfléchit longuement à ce qu'il venait de lui raconter... Elle le regarda, lui, il regardait le ciel ; apeuré. Dryade se rendit compte, que le félin avait hormis de lui avouer quelque chose.. Elle n'insista pas. Elle n'était pas du genre à faire des tonnes pour un secret que, l'autre, n'avait pas envie de révélait... Voyant que le félin n'avait pas envie d'en dire plus, elle parla, pour lui changer les idées.

« Tu sais déjà, beaucoup sur moi... Je n'ai rien d'autre à te révéler. Je sais que c'est sans importance, mais peut-être accepterais-tu de m'écouter raconter, pourquoi je me nomme ainsi.. Comme ça, tu en sauras plus sur moi, coté personnalité. Sinon, je serais incapable de te résumé mon caractère ; car qui le connait vraiment ? Pas même moi... Ma mère, ne nous a jamais aimé, en tout cas, jamais voulu. Elle nous a abandonné, lâchement. Mon père aussi. Mais ils nous ont comme même donné, de merveilleux noms. »

Elle ne savait pas quoi dire, d'autre, elle attendit un réponse de la part du félin... Elle avait vraiment l'impression de passer pour une idiote, mais bon.. ; Elle fit avec.

[ 1 : Désolée d'avoir mis tant de temps.. 2 : Désolée pour cette réponse minable, et ne me dis pas, que c'est la qualité qui compte, parce que là, j'ai pas d'excuse.. .. : 3 ]

« Tu sais déjà, beaucoup sur moi... Je n'ai rien d'autre à te révéler. Je sais que c'est sans importance, mais peut-être accepterais-tu de m'écouter raconter, pourquoi je me nomme ainsi.. Comme ça, tu en sauras plus sur moi, coté personnalité. Sinon, je serais incapable de te résumé mon caractère ; car qui le connait vraiment ? Pas même moi... Ma mère, ne nous a jamais aimé, en tout cas, jamais voulu. Elle nous a abandonné, lâchement. Mon père aussi. Mais ils nous ont comme même donné, de merveilleux noms. »

L'image de la féline s'effaçait. La vue de Feu Sauvage baissait. Il e voulait pas. Non pas encore une fois. Il cachait ce secret depuis si longtemps, et maintenant qu'ils s'étaient intégré parmis les habitants de la forêt, les chats ne faisaient qu'apprendre ce qu'il cachait... Pourquoi continuer alors qu'au moment où le soleil disparaitra, Dryade saura tout. Le rouquin n'avait pas écouté la solitaire, il était ailleurs. Il regardait derrière la féline grise. Il fixait le soliel, mi paniqué, mi angoissé. Ses pupilles commençaient à ce dilater. Le guerrier baissa son regard, et fut comme soudainement fasciné par le sol. Effectivement, il agissait bizarrement. Il avait dut mal à mentir, sauf pour aider ses amis, et faisait comme si tout allait bien. Mais non. Tout allait mal.
Finalement, il leva la tête vers Dryade pour tout lui avouer, avant de comprendre qu'elle parlait déjà:

« Ecoute... Il y a un truc où vous devriez remercier vos parents, c'est qu'eux, ils vous ont donné la vie. Imagine. S'ils n'avaient vraiment pas voulut de toi, ta mère aurait essayé de faire une fausse couche, ou bien, ils vous auraient assassinés à votre naissance. Mais non. Ils vous ont enseigné le minimum et vous ont laissé vivre. Je trouve que c'est quand même un beau geste pour des parents surement trop jeunes pour vous avoir... Ils ont quand même eut tort de vous abandonner, car vous êtes des chats merveileux. »

Une larme perla sur sa joue. Non. Elle n'était pas faite d'eau salée. Le soleil venait de se coucher. Malgré ça, les félins autres que lui pouvaient bien voir que cette larme était de sang. A chaque fois où sa vue s'envolait, il se retenait de pleurer. Oui, pour un mâle c'était idiot. Mais lui, il ne cachait jamais ses larmes. Ici, c'était censé être des larmes de joies. Malheureusement, elles deviennent de sang. Cette fois-ci, il ne paniqua pas. Content d'avoir connu deux félines qui aurait pu mourir au lieu de vivre. C'est avec e sourire qu'il lui avait tout avoué:

« Dryade... Il y a quelque chose que j'ai homis de te dire quand je t'ai parlé de mon passé. Quand le félin noir m'a repoussé. Je me suis cogné la tête contre quelque chose de dure. A mon réveil, je ne voyais plus rien. J'ai cru être devenu aveugle, mais le soleil se leva. J'ai compris que la nuit, je ne pouvais plus voir... »

Un nouveau sourire s'afficha sur son visage. Un sourire confiant et chaleureux. Elle savait, et n'aurait pas de surprise à le découvrir d'elle même. Il avait quand même réussit à hôter l'une des vies d'une meneuse, sans le vouloir d'ailleurs, alors que la nuit était tombée. Il secoua la tête. Il ne voulait pas se rappeler de ça. Il avait intégré le Clan de l'Aube parce qu'il lui devait quelque chose. Mais peut-être allait-il le quitter ? Bref. Il leva le regard vers le souffle de Dryade. Le solitaire qu'il ne voyait plus:

« Sinon, tu voulais me raconter pourquoi tu t'étais renommé ainsi ? Vas-y, je t'écoute. Mais si ça devient trop dur, alors arrête-toi. »

Il s'assit le regard avide, et attendit une réponse.

» A l'aide ! [Pv Pleine Lune ]
» Pleine Lune - Présentation
» Dessins - Feu sauvage/ Pleine lune
» Visite surprise...
» Nuage Tacheté (soeur de Nuage Eternel/ Feu Sauvage/ Pleine lune)