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* Seras tu l'élu que nous attendions ? Thème 7 by Nuity- I'ts raining in the world..
 
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 The Night

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Pleine Lune
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Pleine Lune


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MessageSujet: The Night   The Night EmptyMer 15 Déc - 13:37

Tout commence dans un bel après midi, en plein milieu d’une année scolaire où deux jeunes filles de 14 ans se nommant Manon et Esther, toutes deux brunes, y font leur éducation. La première est plutôt du genre fofolle, elle met du temps à capter certaine chose et ne comprend pas toujours tout, elle a les yeux de couleurs marron. La deuxième est plutôt souriante, mais elle, elle sait garder son calme en toute sérénité, par contre elle est aussi folle que son amie quand elle veut et a des yeux verts. En cours d’SVT, Mme Violldecap écrivait son cours au tableau, son écriture était si illisible que certain ne noté rien à ce qu’elle écrivait, pour une fois, les élèves préfèrent que cette prof dicte son cours. Ce jours-là, il n’y avait aucune expérience, juste des petites choses à revoir, donc le cours était plutôt ennuyeux. C’était toujours l’intello de la classe qui posait des questions, et aussi l’idiot du village qui les répétait sans s’en rendre compte. Nos deux amies avaient mal choisis leurs places, elles étaient tout devant, pilepoil en face de leur prof. Son haleine était aussi écoeurante que l’odeur de fromage fort, à en penser qu’elle se croyait au Nord et que, tout les matins, elle prenait son petit déjeuné : du maroil trempé dans du café. Sa tête triangulaire montrait son agressivité, et en effrayait plus d’un. Bref, Manon et Esther ne pouvaient ni s’endormir comme tous les autres, ni parler entre elles, les deux brunes soupiraient presque tous les cinq minutes. Puis au moment où le sommeil leur vint, quelqu’un frappa violement à la porte, tout le monde sursauta, réveillé par cette force de frapper. C’était le CPE, un mec musclé de la tête aux pieds, mais sans cervelle, il faisait peur à certain mais était sympa avec d’autre. Un type vraiment bizarre… Puis il s’avança, s’excusa auprès de Mme Violldecap, et il se retourna vers nous. Toute la classe s’était levée en un bond, il nous dit simplement :

CPE: « Asseyez-vous. Comme on vous avez prévenu en début d’année, vous allez avoir un nouveau venu dans votre classe. »

Il laissa entrer l’intéressé, un jeune homme aux cheveux noirs mi-long, et aux yeux ambres s’avança dans la pièce. Son pas était lent, il avait pourtant l’air à l’aise, aucune timidité dans son allure. Ses mains étaient cachées dans les poches de son jean, il se tenait droit. Mais son visage était froid, inexpressif, pas le moindre sourire. Quelques filles de la classe eurent des étoiles dans les yeux après l’avoir vu, avant de lancer des regards emplis d’admiration. Parmi elles, se trouvait une fille qui haïssait des personnes sans raisons, ennemie de Manon et d’Esther. Ces dernières lui trouvèrent un surnom qui lui allaient comme un gant : « Bull-dog » à cause de son visage rond et de sa tête. Cette fille était fièrent comme un paon, et se la pétait un peu trop d’ailleurs. D’autres filles lancèrent des petits cris admiratifs [Comme ‘Woua !] mais le sujet principal de ces causes ne bougeait toujours pas, il ressemblait plutôt à une statue que l’on met dans les musées. Puis, un hurlement retentit terrorisant les élèves, la prof d’SVT avait demandé le silence, et tous l’on écouté, enfin c’est plutôt qu’ils n’avaient pas envie de devenir sourd avant l’âge. Le CPE s’était éclipsé avant son cri de corbeaux à l’agonie, de toute façon, il avait autre chose à faire.

Prof d’SVT : « Va t’installer ici, derrière Manon et Esther. Comment tu t’appelles déjà ? »

Elle montra d’un signe de tête les deux amies, assise côte à côte, ne leur montrant aucun regard particulier.

Takanori : « Je m’appelle YAMAMOTO Takanori.

Prof d’SVT : - Bien, va t’asseoir à présent. Et continuons notre cours, ceci nous fait perdre un temps précieux. »

Esther fit glisser un papier vers Manon où il était inscrit : « Tu parles d’un temps précieux, elle se rend même pas compte que son cours est une vrai boite de somnifère ambulante. xD » Son amie lui répondit : « T’as raison xD Je m’endors, mais si j’le fais vraiment… Ben j’ai quelques heures de colles. xD » Et un petit dialogue sur papier commence :

Esther : « Ouais, moi j’me vois mal rentrer et dire à mes parents, ‘Ben j’ai deux heures de colles’ Ils me diront sûrement ‘Et en quel honneur ?’ Avec un regard emplit de colère, j’me vois pas lui répondre ‘ Ben… J’me suis endormie en cours…’ ^^” xD »
Manon : « T’as vu tous ce que tu m’as donné à lire ? Ben je vais me venger, na ! :p T’as vu la nouvelle cible de Bull-dog ? J’ai l’impression qu’elle fera tout pour sortir avec le nouveau, enfin tant qu’elle reste populaire elle ne fera pas trop de dégâts. T’imagine, tu sors avec un mec, mais tu l’aimes pas, c’est inhumain !!! »
Esther : « La vengeance est un plat qui se mange froid. xD Ouais, j’avais aussi remarqué, cette idiote ne pense qu’à elle et sa popularité, si elle trouve qu’un mec fait tomber toutes les pouffiasses, elle fera tout pour l’avoir. Rien que pour augmenter son taux de réputation u_u Je crois qu’elle veut qu’on l’admire parce qu’elle est sortie avec le plus, soi-disant, beau mec du moment. xD Au fait, j’aime bien ton dernier mot (C’est mon dernier mot Jean-Pierre //SBAFF// xD) Inhumain… ça m’éclate ! xD »
Manon : « Bon tu vas arrêter avec tes longs discours ? Une boite de somnifère d’accord, mais pas deux xD Oui je sais, chui méchante x) Ouais t’a raison o.o Toi, t’as trop regardé les enquêtes policières, ou bien un truc de psychiatre, bon d’accord ça saute aux yeux, mais bon. T’es ni un agent fédérale, ni un agent spécial… Même pas chercheuse dans le domaine scientifique. (Référence à Abby de NCIS) Réputation ? Mais au fait, la notre est à combien.. La mienne doit être largement au dessous de zéro xD Et toi ? »
Esther : « Toi aussi tu fais des longs discours, la preuve. Hey ! Tu m’as traité de deuxième boite de somnifère ??? o.o T’es méchante ! J’te boude xD Voilà bouderie fini ^0^ Au fait pourquoi tu dis ça ? Je n’ai pas vu de série policière en ce moment, chui plutôt sur Dr.House 8D Ma réputation ? Quelle réputation ? xD (si tu comprends pas, comme d’hab’ je voulais dire que je n’en ai pas xD) Au fait t’as l’heure ? »
Manon : « Bon d’accord on arrête avec les discours ^^” ça commence à m’énerver. Et t’inquiète, j’avais compris pour ta réputation, et il est… Ben ça va bientôt sonner, vive la fin des cours, vive le week-end !!! »
Esther : « Surtout quand on sort de ce cours, t’as envie d’hurler ”Enfin !!! ” xD Mais là tu peux pas ToT, snif…Pour finir la conversation jusqu’à la sonnerie tant attendu xD Il a l’air sympa le nouveau, non ? »
Manon : « Ouais trop, d’ailleurs dès que chui dehors, je le hurle, mais pas très fort xD Et euh… Dis-moi tu vas bien ? Tu parles du nouveau comme un mec sympa, mais il est aussi froid qu’une tombe, pire que l’hiver ! xD »
Esther : « Chiche ! … Oh, tu sais moi les tombes, je m’en fout un peu totalement xD ça veux rien dire. Et l’hiver est ma saison préféré, on peut toujours briser cette froideur, à nous deux on est le soleil et lui la neige xD Il va souffrir et fondre devant nous. [rire sadique] xD Chui folle. Bien sûr, tout ça est faux, on ne peut obliger quelqu’un à changer, c’est toi qui me la dis d’ailleurs x) En gros… Je me fiches du nouveau xD »
Elle lui passa le mot, Manon le lut, cette dernière allait lui répondre mais la sonnerie l’en empêcha, Esther eut un soupir de soulagement après l’avoir entendu. Elles se dépêchèrent de ranger leurs affaires et de partir de leur dernier cours en la vitesse lumière. Et Manon fit exactement ce qu’elle avait dit, elle gueula le fameux mot ‘Enfin !’ Puis se retourna vers Esther d’un air satisfait, aucune d’elle ne fit attention à tous les regards qui se dirigeait vers les deux jeunes amies. Puis quelque chose attira le regard de Manon, elle s’arrêta, pris son amie par la manche de son manteau, et rit :

Manon : « Regarde-moi ça ! Si ce n’est pas malheureux. »

Esther suivit le regard de la brune et découvrit un tas de pouffe regroupé et en train de marcher derrière le nouveau. Chacun faisait des compliments, mais il les ignorait toujours, le seul moment où il parla c’est quand l’une d’entre elles voulut l’appeler ‘Taka-chan’ Les deux brunes pouffèrent, firent volte-face et partir à pied chez soit. Vers la fin du trajet, où leur chemin se coupe en deux routes différentes, Esther lui dit :

Esther : « Attends ! Tu ne veux pas passer la nuit chez moi ? Je voudrais te faire visiter le bois. »

Celle-ci habitait près d’une petite forêt, elle aimait beaucoup s’y aventurer, les couchés de soleil sont magnifique vu près du lac, on dirait qu’il disparaît dans les profondeurs des eaux dans un dégradé de rouge et de bleu pour laisser place à la nuit. Heureusement, elle y vit à côté, elle peut donc facilement rentrer chez soi. Les soirs de pleine lune, elle sort et passe, quand elle est en vacance, une nuit blanche à la regarder dans sa lunette astronomique, elle dit que la pleine lune l’apaise, et que ça lui permet de méditer des choses qui se sont passé et qui ne lui a pas plu. C’est peut-être pour ça qu’elle arrive à garder son calme, non ? Manon acquiesça :

Manon : « Ben je vais chercher mes affaires alors, tu n’as cas m’attendre à l’arrêt de bus.

Esther : « Non, ce n’est qu’une nuit, je te prêterai un pyjama si tu veux. Faire l’aller et le retour chez toi ne sera qu’une perte de temps, j’aimerai tout te montrer, même le couché du soleil. »

Manon : « Bon ok… »

Donc, comme prévu, elles rentrèrent chez la brune qui a la tête dans les étoiles. Elles y déposèrent leurs affaires de cours et Esther prépara quelque chose dans la cuisine, demandant à Manon de s’installer tranquillement et de faire comme chez elle, elle lui alluma la télé et tomba sur une chaîne quelconque.

Manon : « Qu’est-ce que tu fais ? »

Esther : « Ben… Si tu veux voir le couché du soleil, il faudra manger dehors, enfin pique-niquer quoi. »

Manon : « Tu veux un coup de main ? »

Esther : « Non, c’est bon j’ai bientôt fini. J’avais déjà commencé à préparer avant. J’ai commencé l’année dernière. »

Elle disait ça toute joyeuse, un grand sourire aux lèvres et des fleurs flottantes autour de sa tête. Manon écarquilla les yeux aux bout d’un certain temps, restant bouche bée :

Manon : « Quoi ? »

Esther : « Toujours aussi longue à capter pas vrai ? Mais je rigolais bien sûr, si tu veux faire une indigestion, ben… Va voir dans ma poubelle. »

Elle sourit et fourra le repas dans un sac à dos, son amie se leva :

Manon : « Euh… C’est si loin que ça ? »

Esther : « Nan, c’est la porte à côté. Mais moi qui aime bien me promener, je trouve se sac bien pratique… Tout est prêt, on y va ? »

Manon : « C’est partit, mon kiki ! »

Ensemble, elles s’engagèrent dans le bois au trot, il fallait monter une pente dès le début, Manon en resta pétrifié sur place :

Manon : « Il y a encore beaucoup d’autre surprise dans le genre ? »

Esther : « Oh ça ? C’est rien, enfin j’en ai l’habitude, il n’y a pas d’autre truc à monter, par contre il n’y a pas de chemin précis. C’est un bois quand même, donc le sol ne sera pas tout à fais plat. »

Elle sourit quand elle vit que son amie grimaça lorsqu’elle avait dit que le terrain comportera de petit obstacle. Puis au bout d’un moment, elles entrèrent dans une espèce de prairie. De l’herbe à perte de vue, en face un lac... Le lac dont parlait tout le temps Esther. Les oiseaux chantaient joyeusement et à tue-tête. La brune qui, normalement, sait garder son calme, ne put s’empêcher de se jeter dans l’herbe, douce et fraîche, pour s’y rouler dedans. Le parfum de la mousse et de la terre, humidifié par la fine brise du soir qui arrivait lentement, vint lui chatouiller le nez, elle éternua, ce qui la sortit de ses pensées enfantines. Manon la regardait, la bouche entrouverte, elle ne l’avait jamais vu comme ça, son amie lui fit signe de la rejoindre, mais elle avait l’air de cette transformé en stalagmite. La brune au sol, se leva et vint vers elle en sautillant :

Esther : « Viens c’est super amusant. Fais comme moi, roule toi dedans, c’est doux et ça sent bon. »

Manon : « … »

Elle parut hésiter, d’un coup Esther la trouva… Timide. Alors elle la poussa de toutes ses forces et cette dernière tomba sur le sol, roulant sur cette mini colline, d’abord elle hurla de peur, puis commença à rire aux éclats. Une fois par terre elle huma l’air, comme pour imiter son amie, il est vrai qu’il y avait un doux parfum de fraîcheur, elle trouvait ça… envoûtant. Puis, elle ouvrit ses yeux, le soleil était en train de se coucher, la jeune brune s’assis et le fixa, les reflets rouges ondulés dans l’eau, le soleil orange lui rappelle les oranges que ça grand-mère cultivait, le dégradé de rose et de bleu était magnifique. On commençait à voir les premières étoiles et la lune débuta son apparition. La douce brise du soir souffla sur la jeune étudiante, elle l’inspira à fond. Ce n’était pas comme en ville, ici, on sentait la nature, et on la vivait, là bas, le gasoil de partout, l’odeur âcre des déchets dans l’air. Puis Manon se rendit compte qu’Esther n’était pas descendu, elle se retourna vers le haut de la petite colline, elle était toujours là, mais aux aguets, elle scrutait l’horizon, comme si… Elle cherchait quelque chose. Manon se releva et lui dit :

Manon : « Qu’est-ce que tu fiches encore ? »

Esther : « Il y a un truc bizarre, enfin qui cloche mais je ne vois pas ce que c’est. Tu entends ? »

Manon : « Non, pourquoi ? Et où sont les oiseaux ? »

Esther : « Bonne question, maintenant je peux me prendre pour un agent du NCIS. »

Elle rigolèrent quelques temps, puis la jeune fille en hauteur regarda une dernière fois autour d’elle, avant de faire un pas en avant pour descendre :

Manon : « Ben pourquoi tu viens, s’il y a quelque chose il faut que tu restes là haut. »

Esther : « J’allais quand même pas te laisser seule, non ? Bon c’est pas tout mais le couché de soleil ça ne sera pas pour aujourd’hui, on va rentrer. »

Au même moment, plusieurs corbeaux s’envolèrent dans le ciel, Esther pris peur et se mis en position d’attaque, un réflexe dit-elle… Quant à Manon ? Elle fit un pas en arrière et regarda les oiseaux de jais s’envoler dans leur cri perçant. Quelques secondes plus tard, l’une des deux dis :

Esther : « Il est toujours là, ne jamais croire que cette chose est partit, quand un corbeau s’envole dans un de ces cris ça veux d… »

Un éclair noir jaillis des buissons et se jeta sur Manon, la cognant de plein fouet contre un arbre, l’animal était plus fort qu’un homme. Un creux s’était formé derrière la jeune fille, elle regarda Esther, comme si elle lui supplier de l’aider. Mais l’autre, qui n’avait toujours pas réagis, figé par la peur, chercha vainement quelque chose pour attirer son attention ici. Elle trouva un caillou non loin de là, et le balança sur la chose. Cette dernière lui lança un regard noir du coin de l’œil sans trop quitter Manon des yeux. Le caillou n’avait pas fonctionné, idiote qu’elle est, elle s’approcha de la bête, et tenta de la taper, l’autre ne semblait rien sentir, d’un coup de bassin, il l’envoya baladait dans l’herbe. Esther revint à la charge, elle lui sauta sur le dos, et, pour ne pas lâcher prise, l’enlaça. Elle fut étonnée de voir que la bête s’apaisa à cette affection donnée involontairement, l’animal lâcha Manon qui s’éloigna de lui dès qu’elle toucha le sol, il avait l’air de s’endormir comme si tous ça l’avait épuisé. Puis, ce qui étonna le plus les deux amies, c’est quand il redevint un homme, ou plutôt un jeune homme, d’abord, il était à poil, et ensuite c’était le nouveau de leur classe.
Fin pour le moment
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MessageSujet: Re: The Night   The Night EmptyMer 15 Déc - 14:06

The Night 101215114512367877

Autrefois, il y a des lustres, dans un village perdu en plein coeur d'une forêt, un onii faisait sont apparition toutes les pleines lunes. Il détrusait le village: il faisait des trous dans le toits des maisons construites, piétinait les terres agricoles, mangeait leurs animaux, effrayait tout le monde, mettait parfois le feu aux toits en paille, et personne ne pouvait l'arrêter, pas même les plus valeureux guerrier, il mourrait tous au combat ou fuiyait en hurlant comme des fillettes apeurés. Le chef du village en eux un jour marre de tout se raffus, il décida donc qu'à la prochaine pleine lune, il irait parler à la bête, sans arme. Les vilageois se dirent que s'étaient peut-être une bonne idée: la guerre s'arrêterait. Enfin, c'est ce qu'ils pensaient...
Le chef, de la famille Yamamoto, vint près d'une pierre: la pierre centrale de la forêt, là où les personnes disparaissaient à jamais, il attendit. Assis mais aux aguets, sans bouger, emplit de sagesse, il se laissait porter par le vent qui soufflait, en inspirant profondément. Personne n'avait vraiment vu la bête, enfin ce qui l'avait vu était déjà mort depuis bien longtemps. Soudain, des craquements l'attira, un bruit de feuilles écrasées le fit frémire. L'onii était là. Il ne le voyait pas mais sentais sa présence. Il sentais aussi un souffle régulier sur son cou, des mumurres se firent entendre. Le bruit de cette animal était semblable aux cris d'agonie d'un chien. Ses chuchottements ressemblaient au son que font le frottement des feuilles quand la brise d'hiver est là. Ses longues griffes était telles des racines d'arbres, sont corps fin et maigre dévoilait ses côtes, et pourtant il ne faisait que manger. Sa longue queue passa sous le nez du jeune chef, ce dernier ne bougea pas, il savait que s'il faisait le moindre mouvement, s'en aurait été fini pour lui. Et son peuple mourrait tranquillement de famine et de maladie grave, causés par leurs faiblesse et l'odeur de la mort qui regnerait sur le village. Il lui dit simplement:

Chef: « Je me vois l'obligeance de vous parler. Un pacte s'impose entre nous. »

Les yeux blanc et les petites pupilles noires de l'onii s'emplirent de curiosité, il pencha la tête sur le côté avant de s'écarter de l'homme et de feuler tel un chat en colère. Il vint s'imposer en face de lui, et lui répondit:

Onii: « Tu es bien courageux homme... Venir à moi est une vraie tentative de suicide. Mais bon, je vois donc que vous n'êtes pas là pour me parler de cela. Me tromperais-je ? »
Chef: « Vous n'avez pas tort. Puis-je me permettre de vous proposer un marché?
Onii: « C'est tout entendu... »
Chef: « Pourriez-vous stoper vos dégâts dans notre forêt? Mon peuple vous craint terriblement, ce qui empêche la rénovation du village. »


L'onii lança un regard noir au chef, mais celui-ci ne bougea pas, il était prêt à faire tout pour sauver ses villageois, même à y laisser la vie. Il crut même qu'il allait l'abattre après ses paroles mais il lui serrait lâche d'assassiner quelqu'un sans que cette victime n'est d'arme. Enfin, c'était la loie imposé dans cette forêt. Puis la bête s'apaisa et répondit:

Onii: « Accordé... Mais à une seule condition, et si vous ne la respctiez pas, il pourrait arriver malheur à votre peuple bien-aimé. »
Chef: « Je suis toute ouïe en se qui concerne votre proposition. »
Onii: « Chaque fois que la Pleine lune apparaîtra six fois, je veux que l'on m'apporte un enfant d'au moins trois ans. Je le choisirai moi-même... »


Le chef écarquilla les yeux, comment osait-il lui demander une chose pareil. Tout cela le terrifiait, et l'onii le voyait. Dans un sourire, il attendait la réponse du jeune Yamamoto. Ce dernier mis du temps avant de répondre, ce n'étais pas une decision à prendre à la légère. Néamoins, il acquieça légèrement et à contre-coeur. L'onii rendit alors son sourire encore plus large, et sautilla sur place, content qu'il est accepté.

Onii: « C'est une très bonne iniciative, car de toute façon, si vous n'aviez pas accepté, j'aurai doublé mes ravages au sein de votre village. »
Chef: « Et qu'arrivera-t-il si je refuse de vous livrer l'un des enfants ? »
Onii: « Je me verrais dans l'obligeance de vous punir, vous et votre peuple. En attendant la prochaine lune, engraissez-moi l'enfant de la jeune agricultrice, dans le champs de blé. »


Il accepta de nouveau, et encore une fois à contre-coeur. L'onii disparu dans la cime des hauts arbres que présentait cette forêt, et le chef retourna aux village, penaud... Il expliqua à ses villageois le pacte choisi... Des cris d'effrois jaillirent de la bouche de certaines femme qui avaient leurs enfants de moins de trois ans. Des murmurent firent place, ceux qui n'ont jamais apprécié leurs meneur l'insultais dans son dos, disant que c'était de sa faute si l'on en était arrivé ainsi. Chauqe six lunes, l'onii choisissait ses victimes, et en était ravi. Il souriait, dévoilant toutes ses dents acérées, faisaint peur aux petits. Il prenait son temps et tout le monde avait du mal à digérer cette histoire. Des années passèrent, et le jeune Yamamoto devint un chef respectable, il avait choisi une épouse et venait d'avoir un enfant avec elle. Il grandit à vu d'oeil, ses parents étaient fier de lui, disant que plus tard il sera un très bon meneur. Et oui, c'était un garçon. Six lunes plus tard, l'onii fit sa réapparition, quand il vit le jeune et futur chef, il s'en pris à lui. Il le voulait, mais cete fois, il serra apporté differement, il voulait qu'on le serve son plat sur la pierre au centre de la forêt. Mais le père de la prochaine victime refusa d'y prêter mains forte. Il ne savait pas ce qu'il savait subir, mais il le pensait déjà: la mort. Certains villageois ripostèrent, disant qu'eux ils n'avaient pas eu le choix alors pourquoi lui il l'aurait? Mais la question restait sans réponse. L'onii diparu en lui laissant un lune entière pour engraisser l'enfant et le lui amener.
Comme promis, le bête revint, mais ne trouvant pas son dîner, il courut à pleine vitesse dans le village et hurla de rage tel les chanteurs de hard rock. Le manque de chair humaine le mettait très en colère. Le chef Yamamoto s'y attendait, il était là, assis dans le centre du village, et le fixa, son fils se tenait à ses côtés. L'onii hurla une deuxième fois, et cracha au nez de l'enfant:

Onii: « Tu n'es pas venu à moi, alors c'est moi qui viendrais en toi. »

Il y eut une sorte de duplication et une boule de lumière entra dans les entrailles de l'enfant.

Onii: « Dorénavant, quand la nuit viendra, il sera à moitié onii, moitié humain. Il cherchera à soulager sa souffrance sur chaque personne qu'il croisera le soir. sa transorformation le fera souffrir, de fortes douleurs. Seul le pouvoir de son Chin'chaku pourra l'apaiser... Mais il faudra déjà le trouver.... »


Et il disparu dans la nature. Laissant l'enfant sous d'atroce douleurs. Il hurler et se tenait la tête, n'ayant pas l'habitude, puis devint oni'jin. Dès lors, chaque descendant de cette famile se transforma tous les soirs en oni'jin. Dès leurs trois ans, ils héritèrent du sort de leurs parents et apprennèrent dès leurs plus jeunes âges à ne pas rentrer trop tard, ou autre...
Horrifié par la malédiction jetée à son fils, le chef Yamamoto vint trouver le monstre dans sa grotte et le fit encerclé par ses plus valeureux guerriers, comme l'on pouvait si attendre le contact même avec cette créature démoniaque les firent tous périr. Néanmoins, un était encor en vie. Moku détenait un dons de naissance qui lui donnait le privilège d'etre l'un des rares mortelles à pouvoir rivaliser contre une créature démoniaque. Après un combat acharné, le démon mourut en ne laissant aucun corps derrière lui.


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